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Le Centre d’Études et d’Expérimentations Économiques et Sociales pour l’Afrique de l’Ouest (CESAO) est une association internationale à caractère non gouvernemental de droit burkinabè, dont le siège est à Ouagadougou, au Burkina Faso.  Le CESAO a pour mission de « travailler à un développement économique et social du milieu rural et péri-urbain en renforçant les capacités des acteurs locaux à s’auto promouvoir et à construire un environnement de paix, de justice, de tolérance et de solidarité » : « travailler à un développement économique et social du milieu rural et péri-urbain en renforçant les capacités des acteurs locaux à s’auto promouvoir et à construire un environnement de paix, de justice, de tolérance et de solidarité »

L’objectif général poursuivi sur la période 2022-2026 est de contribuer à la promotion d’un développement intégral et participatif basé sur un humanisme spiritualiste, personnaliste et communautaire, principalement dans les pays de l’Afrique de l’Ouest 

Le CESAO travaille sur 4 axes stratégiques :

  • La promotion de nouvelles activités de croissance,
  • La promotion des initiatives de développement,
  • Le renforcement du rôle militant du CESAO,
  • La gestion des connaissances et diffusion de bonnes pratiques

Différents domaines d’intervention sont investis par CESAO

  • Gestion des ressources naturelles / Changement climatique/agroécologie/ écoconstruction / Energies renouvelables
  • Entrepreneuriat rural et Promotion de filières
  • Sécurité alimentaire et nutritionnelle
  • Société civile / décentralisation/Démocratie / gouvernance et droits humains
  • Secours d’urgences et gestion des catastrophes naturelles
  • Hygiène –Eau et Assainissement
  • Paix, sécurité et gestion des conflits

Dans le cadre de ses activités, le CESAO souhaite recruter un stagiaire en gestion de projets afin d’appuyer l’élaboration de projets et le suivi /évaluation particulièrement dans les domaines d’intervention de CESAO et plus spécifiquement dans le secteur des énergies renouvelables.  Ce recrutement se fait dans le cadre du projet « Coopération des organisations panafricaines de la société civile pour 100% d'énergies renouvelables en Afrique (COOP ARE).

Responsabilités et tâches liées au stage

Responsabilité I : Elaboration de projets

  • Identifier des idées de projets en lien avec les domaines d’activités du CESAO et plus spécifiquement dans le secteur des énergies renouvelables ;
  • Elaborer des notes conceptuelles dans le cadre des appels à projets ;
  • Apporter un appui à l’élaboration des projets ;

Responsabilité II : Suivi-Evaluation  

  • Participer au suivi-évaluation des projets du CESAO ;
  • Participer au montage des offres pour les appels d’offres de suivi-évaluation ;
  • Contribuer à la réalisation des études de suivi-évaluation ;

Responsabilité III : La veille sur les appels à projets et appels d’offres

  • Identifier à travers différents canaux les appels à projets et appels d’offres sur des sujets intéressant le CESAO ;
  • Structurer et mettre à disposition les informations relatives aux appels d’offres et appels à candidatures

Critères de sélection

Qualifications :

  • Être titulaire d’un master II (Bac+5) en gestion de projets ou équivalent ;
  • Avoir une expérience dans le domaine de la gestion de projets, le suivi-évaluation et les études serait un atout ;

Connaissances et compétences requises :

  • Bonne connaissance de la gestion des projets ;
  • Connaissance en consultance
  • Maitrise du Pack Office.

 

Qualités requises

  • Aptitude à travailler de façon autonome et en équipe ;
  • Bonnes aptitudes relationnelles ;
  • Excellente qualité de communication écrite et orale en français.

NB : Le candidat doit être âgé d’au plus 40 ans au moment du dépôt de sa candidature.

Il doit être ressortissant d’un pays de l’espace UEMOA et immédiatement disponible.

  • Durée du stage : 3 mois.
  • Lieu d’affectation : Ouagadougou (Burkina Faso).

Composition du dossier :

  • Lettre de motivation en français
  • Curriculum Vitae (CV) détaillé en français

 

Procédure de recrutement :

Pré-sélection sur dossier, suivie d’une phase d’entretien (seuls les candidats présélectionnés seront contactés).

Date limite d’envoi des dossiers : 29 décembre 2023 à 00h 00mn.

Dépôt du dossier de candidature

Les candidats intéressés sont priés d’envoyer leur dossier de candidature, exclusivement par email, à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avec en copie les adresses : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. .

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Le Centre d’Études et d’Expérimentations Économiques et Sociales de l’Afrique de l’Ouest (CESAO) est une association internationale à caractère non gouvernemental de droit burkinabè, dont le siège est à Ouagadougou, au Burkina Faso.  Il s’investit prioritairement dans l’auto promotion communautaire.  Le Centre opère à partir d’un bureau régional de coordination, à Ouagadougou, et de structures opérationnelles implantées à Niamey (Niger) et à Bobo Dioulasso (Burkina Faso).  Le CESAO est pionnier dans la sous-région ouest africaine dans le développement de l’approche participative par ses activités de formation et se reconnait à travers le leadership des milliers de ruraux et de cadres d’accompagnement.  Le CESAO a contribué à la consolidation du mouvement paysan dans les différents pays ouest africains et à la prise en charge des problématiques clés de développement (organisation et animation du monde rural, développement communautaire, financement du développement, etc.).

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Coopération des organisations panafricaines de la société civile pour 100% d'énergies renouvelables en Afrique (COOP ARE) », un réseau ouest africain des organisations de société civile (ROACER) a été mis en place et permet une animation de plateformes au niveau de cinq pays à savoir le Bénin, le Burkina Faso, le Niger, le Togo et le Sénégal. 

Afin d’appuyer l’animation des réseaux et plateformes et seconder la mise en œuvre des activités du projet COOP ARE, le CESAO souhaite recruter un stagiaire en communication et plaidoyer

Tâches et responsabilités liées au stage

Responsabilité I : Appuyer et seconder la mise en œuvre des activités du projet COOP ARE

  • Mettre en place une veille stratégique des engagements des Gouvernements à promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables ;
  • Mettre en place une veille sur la tenue des rencontres au plan national, sous régional et international en lien avec les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ;
  • Participer au besoin aux rencontres de sensibilisation au niveau communautaire et national sur les énergies renouvelables.


Responsabilité III : Participer au renforcement institutionnel du CESAO et de ses structures opérationnelles

  • Participer au besoin aux rencontres avec la coalition nationale et sous régionale et établir des comptes rendus de réunion.
  • Apporter un appui à l’exécution des activités de communication et plaidoyer du CESAO ;
  • Animer les plateformes de communication avec les activités des projets du CESAO ;
  • Autres tâches confiées par le supérieur hiérarchique.

Critères de sélection

Qualifications :

  • Être titulaire d’un master II (Bac+5) en communication ou équivalent ;
  • Avoir une expérience dans le domaine de la communication, réseautage, plaidoyer.
  • Avoir une expérience du plaidoyer dans le domaine des énergies renouvelables serait un atout.

Connaissances et compétences requises :

  • Bonne connaissance de la gestion des projets ;
  • Maitrise du Pack Office.

 

Qualités requises

  • Aptitude à travailler de façon autonome et en équipe ;
  • Bonnes aptitudes relationnelles ;
  • Excellente qualité de communication écrite et orale en français.
  • La maîtrise de l’anglais est vivement souhaitée

NB : Le candidat doit être âgé d’au plus 40 ans au moment du dépôt de sa candidature.

Il doit être ressortissant d’un pays de l’espace UEMOA et immédiatement disponible.

  • Durée du stage : 3 mois.
  • Lieu d’affectation : Ouagadougou (Burkina Faso).

Composition du dossier :

  • Lettre de motivation en français
  • Curriculum Vitae (CV) détaillé en français

Procédure de recrutement :

Pré-sélection sur dossier, suivie d’une phase d’entretien (seuls les candidats présélectionnés seront contactés).

Date limite d’envoi des dossiers : 03 décembre 2023 à 00h 00mn.

Dépôt du dossier de candidature

Les candidats intéressés sont priés d’envoyer leur dossier de candidature, exclusivement par email, à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avec en copie l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. .

Le CESAO, avec l’appui technique de l’ONG GAJEL Sudubaba, travaille depuis quelques mois à la sécurisation d’un couloir de passage transfrontalier entre le Burkina Faso et le Niger. Le travail de GAJEL concerne uniquement le tronçon Tamou-Botou et quelques bretelles internes, d’une longueur totale de 53 kilomètres. Après les étapes de reconnaissance du couloir, d’identification, d’information et de concertation avec les acteurs riverains, l’équipe de GAJEL a négocié avec succès, auprès des acteurs dépositaires d’enjeux, la libération des passages obstrués. Cette négociation a été sanctionnée par la signature de procès-verbaux d’accords sociaux collectifs dans des villages de la commune de Tamou. Le processus implique fortement la mairie de Tamou (Niger), le secrétaire permanent de la commission foncière communale (Cofocom), les services techniques de l’élevage, de l’agriculture, de l’environnement et la chefferie traditionnelle. Les prochaines étapes sont l’organisation d’un atelier-bilan de présentation des résultats, la matérialisation provisoire - à travers le marquage des limites à la peinture - et le géo-référencement du parcours. La sécurisation du couloir de passage s’inscrit dans le cadre des activités du Projet transfrontalier de Gestion durable des Massifs forestiers communautaires dans 09 communes du Gourma/Burkina Faso-Niger (PTGMAFCO-GBN).

Le préfet du département de Torodi (Niger) a visité, le 17 juin 2021, quelques réalisations du Projet transfrontalier de Gestion durable des Massifs forestiers communautaires de 06 communes de la zone Gourma-Burkina Faso/Niger (PTGMAFCO-GBN) dans la commune de Makalondi, Il était accompagné d’une forte délégation composée des services départementaux en charge de l’environnement, du développement communautaire, de l’agriculture, et de la promotion de la femme. La délégation a notamment visité le site maraicher du village de Mossipaga et la radio communautaire.

Après des échanges avec des productrices maraichères et des ménages vulnérables, le préfet a procédé au lancement de la remise des subventions aux micro-entrepreneurs exploitants de bois. L’objectif de ces subventions est de financer des activités de substitution à la coupe /vente du bois de chauffe.

Message de la campagne : "L'alimentation est un droit et manger, un vote"

Le clap de départ a été donné le 11 juin 2021 à travers un atelier à Ouagadougou.

La campagne a pour objectif de "contribuer à la concrétisation, dans les pays africains, du droit des populations à une alimentation suffisante, saine et durable, à travers une citoyenneté alimentaire accrue et une veille active au respect des obligations des Etats en la matière, avec un accent sur les droits des personnes et des groupes les plus vulnérables".

Conscience AlimenTERRE est un projet du réseau Inades-Formation. Au Burkina Faso, la campagne est portée par le Comité national de l'Agriculture familiale (CNAF) dont l'équipe de coordination est composée de :

  • la Confédération paysanne du Faso (CPF),
  • la Fédération nationale des Organisations paysannes (FENOP),
  • l'Institut africain pour le Développement économique et sociale (INADES-Formation),
  • Centre d'études et d'expérimentations économiques et sociales de l'Afrique de l'Ouest (CESAO),
  • la Plateforme d'Actions pour la Sécurisation des Ménages pastoraux (PASMEP).

Offre demploi

Le Centre d’Études et d’Expérimentation Économiques et Sociales de l’Afrique de l’Ouest (CESAO) est une association internationale à caractère non gouvernemental de droit burkinabè, dont le siège est à Ouagadougou, au Burkina Faso. Il s’investit prioritairement dans l’auto promotion communautaire.

Le Centre opère à partir d’un bureau régional de coordination, à Ouagadougou, et de structures opérationnelles implantées à Niamey (Niger) et à Bobo Dioulasso (Burkina Faso). Le CESAO est pionnier dans la sous-région ouest africaine dans le développement de l’approche participative - par ses activités de formation - et se reconnait à travers le leadership des milliers de ruraux et de cadres d’accompagnement. Le CESAO a contribué à la consolidation du mouvement paysan dans les différents pays ouest africains et à la prise en charge des problématiques clés de développement (organisation et animation du monde rural, développement communautaire, financement du développement, etc.).

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcer la société civile africaine pour accompagner le continent  vers 100% d’énergies renouvelables et un engagement plus soutenu pour les initiatives africaines sur les énergies renouvelables », le CESAO recrute un Spécialiste en énergies renouvelables et compétitivité énergétique pour coordonner le projet.

Tâches et responsabilités liées à l’emploi

  • Planifier et organiser des ateliers de renforcement des capacités ;
  • Produire des données pour soutenir le plaidoyer en faveur d’une transition énergétique durable en Afrique ;
  • Dialoguer avec les acteurs étatiques et de la société civile ouest africaine sur les énergies renouvelables ;
  • Faciliter la mise en place et l’habilitation des cadres organisés aux niveaux national et sous régional pour assurer une supervision stratégique des engagements des Gouvernements à promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables ;
  • Faciliter des rencontres de sensibilisation au niveau communautaire et national pour favoriser un fort engagement citoyen pour les énergies renouvelables ;
  • Contribuer à la prise en compte du secteur des énergies renouvelables dans les activités de CESAO.

Critères de sélection 

  • Qualifications :
  • Être titulaire d’un master en énergies renouvelables (Bac+5) ou équivalent ;
  • Avoir au moins trois (3) ans d’expérience dans le domaine de la formation/renforcement de capacités, réseautage, plaidoyer sur les énergies renouvelables.

 

  • Connaissances et compétences requises :
  • Bonne connaissance de l’environnement institutionnel ouest africain en matière énergétique ;
  • Bonne connaissance de la gestion des projets ;
  • Maitrise de la littérature sur les énergies renouvelables ;
  • Aptitude à animer/faciliter des sessions de formation/renforcement de capacités ;
  • Maitrise du Pack Office et de MS Project.
  • Qualités requises
  • Aptitude à travailler de façon autonome et en équipe ;
  • Bonnes aptitudes relationnelles ;
  • Excellente qualité de communication écrite et orale en français. La maîtrise de l’anglais sera un atout.

NB : Le candidat doit être âgé d’au plus 45 ans au moment du dépôt de sa candidature. Il doit être ressortissant d’un pays de l’espace UEMOA et immédiatement disponible.

Nature et durée du contrat : Contrat à durée déterminée (CDD) de 1 an renouvelable

Lieu d’affectation : Ouagadougou (Burkina Faso)

Composition du dossier :

  • Lettre de motivation en français
  • Curriculum Vitae (CV) détaillé en français avec le contact téléphonique et l’adresse email de trois (3) personnes de référence.

Procédure de recrutement :

Pré-sélection sur dossier, suivie d’une phase d’entretien (seuls les candidats présélectionnés seront contactés).

Dépôt du dossier de candidature     

Les candidats intéressés sont priés d’envoyer leur dossier de candidature, exclusivement par email, à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. au plus tard le 24 juin 2020 à 17h00 mn.

Contact : 00226 25 36 06 62 / 65 65 10 62

                 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

Le Comité Ouest Africain des Semences Paysannes (COASP) a animé, le mardi 19 novembre 2019 dans les locaux de CESAO à Ouagadougou, une conférence de presse pour parler de la foire sur les semences paysannes qui se tiendra à Tenkodogo du 26 au 28 novembre 2019.

« Echangeons librement et sauvegardons nos semences paysannes, nos savoirs et savoir-faire pour la souveraineté alimentaire et nutritionnelle en Afrique de l’ouest ». C’est sur ce thème que se tiendra la foire ouest africaine des semences paysannes. A en croire le président du COASP, Richard Minoungou, le choix de ce thème découle du constat qu’il est grand temps de braquer les regards sur les mécanismes par lesquels les entreprises semencières confisquent les droits des paysans et des paysannes sur les semences. Et de renchérir que l’industrie semencière a standardisé, croisé ou manipulé génétiquement les semences, et a mis en place un système semencier industriel reposant sur l’interdiction des droits collectifs des acteurs de l’agriculture familiale d’utiliser, d’échanger, de vendre et de protéger leurs semences. Pour lui, « le système mis en place crée la dépendance des paysans aux industries semencières, aux intrants chimiques et aux énergies fossiles ou encore à la fragilité accrue face à l’implication des crises économiques, environnementales et climatiques ». Face à la menace qui pèse sur la survie des semences paysannes et les acteurs de l’agriculture familiale, les mouvements sociaux, en l’occurrence les organisations paysannes et des ONGs se mobilisent pour résister à la privatisation de leur patrimoine semencier et préserver la biodiversité cultivée.

 Après avoir livré sa déclaration liminaire, Richard Minoungou et les autres membres du comité ont répondu aux préoccupations des journalistes. Plus de 200 personnes sont annoncées, qui viendront du Mali, du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Togo, de la République de Guinée, du Tchad, de l’Afrique de Sud, de la France, de la RDC, de la Tunisie, du Brésil et des Etats-Unis.

La (FOASP), en plus de son aspect exposition de semences, se veut aussi un lieu de partage de savoirs et savoir-faire, d’apprentissage et de formation coopérative sur les semences paysannes. Elle se veut également un espace d’échanges et de dialogue entre les organisations paysannes, les organisations de la société civile, la recherche scientifique, les décideurs et les services techniques de l’Etat sur les enjeux liés aux semences et la souveraineté alimentaire et nutritionnelle.

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Du 5 au 7 décembre 2018, deux pépiniéristes, venant de Kantchari (Burkina Faso) et de Makalondi (Niger), ont séjourné à Orodara pour une formation pratique sur les techniques de production arboricoles. Ce renforcement de capacités se fait en faveur du Projet Transfrontalier de Gestion durable des Ressources Forestières (PTGRF III) que le CESAO met en oeuvre.

 

Kent ou Lipens ? Brooks ou Mademoiselle ? La production de ces variétés de mangue n'ont plus de secret pour nos deux pépiniéristes, après la formation dont ils ont bénéficié à Orodara, ville à la réputation de "verger du Burkina". Mais à part les plants de mangues, ils ont aussi manipuler, durant leur séjour, des variétés d'agrumes : orange, citron, tangelo, mandarine, clémentine. Sans oublier le goyavier. 

L’objectif de la formation était de renforcer leurs capacités sur la production des plants en pépinière. De façon spécifique, il était question de renforcer leurs connaissances sur le choix et l’aménagement du site de la pépinière, l’approvisionnement en semences et le prétraitement des graines, la production des plants et les techniques de greffage... A leur tour, ils devront assurer le partage de connaissances avec leurs pairs et la mise en pratique des techniques apprises dans leurs sites. 

Cette formation rentre dans le cadre des activités du Projet Transfrontalier de Gestion durable des Ressources Forestières (PTGRF III) mis en oeuvre par le CESAO dans les communes de Kantchari et de Makalondi. Le Projet entend ainsi contribuer à la promotion de ce métier comme substitution à l'activité de coupe de bois et aussi faciliter la production locale de plants et le reboisement de la zone d'intervention.

 

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Dans un article du Times of London, l’on apprend que des « volontaires » du village de Bana, au Burkina Faso, sont soumis à des piqûres de moustiques six heures par jour contre la somme de 2400 FCFA. Ceci dans le cadre d’expérimentations impliquant des moustiques génétiquement modifiés pour lutter contre le paludisme, menées par le consortium Target Malaria. 
En juin 2018, la Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique africain (COPAGEN-Burkina) - dont le CESAO est membre - avait eu l’occasion de rencontrer des « volontaires » du village de Pala (village à quelques encablures de Bobo) qui ont livré un témoignage identique. 
Malgré les réserves de beaucoup de chercheurs dans le monde et l’invite à la prudence, l’Agence nationale de Biosécurité a autorisé, en août 2018, le projet Target Malaria (Arrêté N°2018-453/MESRSI/SG/ANB du 10/08/2018 portant autorisation de dissémination contrôlée de moustiques mâles stériles génétiquement modifiés dans le village de Bana ou de Souroukoudingan) a procédé à des lâchers-test des moustiques génétiquement modifiés en milieu ouvert, c’est-à-dire avec pour « cobayes » les populations des villages de Pala et de Sourkoudigan, à Bobo Dioulasso.

Cliquez ici pour lire l'article du Times of London

Focus group dans le village de Dan Alah, au Niger

En collaboration avec Tango international, les équipes de CESAO sont mobilisées sur le terrain, en ce mois de décembre 2018, pour la collecte de données sur la résilience des ménages ruraux à l’insécurité alimentaire dans la zone de l’initiative RISE (Resilience in the Sahel Enhanced Initiative/ Initiative de l’USAID pour une résilience renforcée au Sahel) au Burkina Faso et au Niger.

 

Au Burkina Faso, les enquêteurs sillonnent les régions de l’Est, du Centre-nord et du Sahel. Au Niger, ils parcourent les régions de Maradi, de Zinder et de Tillabéry.

Cette enquête, dite de surveillance récurrente, s’étale sur presque une année, d’août 2018 à juin 2019. Tous les deux mois, les enquêteurs du CESAO vont à la rencontre de 400 ménages ruraux, en moyenne, dans chaque pays, pour s’entretenir avec eux sur les chocs, les réponses et les comportements qu’ils développent pour y faire face. Les données sont recueillies à l’aide de tablettes et stockées dans un serveur en vue de leur traitement.

Le passage de ce mois de décembre est le troisième d’une série de six au total. La finalité de l’enquête est d’apprendre d’avantage sur l’agriculture, la sécurité et la consommation alimentaires, la nutrition et le bien-être des ménages dans la zone RISE.

TANGO International est un cabinet américain qui développe une expertise dans la mesure de la résilience. Il est chargé, par le projet SAREL (Sahel Resilience Learning Project/Projet Apprentissage sur la Résilience au Sahel) de l’USAID, de conduire l’étude qualitative des projets de l’Initiative RISE, avec l’accompagnement du CESAO. 

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